Les stars votent pour le short !

Qu'il soit en jean ou pas, le short ressort des placards des stars. Avec le retour des beaux jours, nombreuses sont celles qui dévoilent leurs jambes sculpturales en short. Jennifer Aniston, qui a érigé le sport en style de vie, est fière d'exhiber ses gambettes dans un minishort beige. Dans la jungle urbaine, elle joue les baroudeuses avec élégance. C'est aussi le cas du top model Rosie Huntington -Whiteley. Rendue célèbre pour avoir remplacé Megan Fox dans la saga Transformers, la jeune femme est aussi à l'aise sur les podiums des défilés, devant les caméras ou dans les rues de Los Angeles. Dans son short en cuir noir, elle est sûre de son sex-appeal...                     
Jennifer Aniston travaille dur pour avoir de telles jambes.jpg
Comme Rosie Huntington-Whiteley, toutes les célébrités sont d'accord : le short n'est pas réservé à la plage ! Eva Longoria le porte même pour participer à la célèbre émission télévisée de David Letterman : dans son ensemble bleu à même la peau, l'actrice américaine est ultrasexy. Kate Walsh, l'héroïne de la série Private Practice, préfère une combishort en soie blanche, mais elle n'est pas moins glamour ! Plus casual, Blake Lively de la série Gossip Girl et Rachel Bilson de la série Hart of Dixie osent le short en ville : dans un parc de New York pour la première ou dans les rues de Los Angeles pour la seconde, le short se fait trendy.
Rosie Huntington-Whiteley parade dans un short en cuir noir, elle est sublime.jpg
Mais la star des shorts, c'est bien le modèle en jean ! Les célébrités le savent et le plébiscitent, à l'instar de la jeune actrice Amanda Seyfried. Celle qui a fait succomber les acteurs Ryan Phillippe, Dominic Cooper et Josh Hartnett a pu compter sur ses gambettes pour les attirer. Pour partir en balade avec son chien, la jeune femme s'est glissée dans un short en jean qui met en valeur ses atouts ! Le top model Miranda Kerr est aussi adepte des minishorts en jean. La jeune femme mixe le sien avec un top rose fluo, pile dans la tendance printemps-été 2012. Plus roots et fidèle à son style hippie chic, Alessandra Ambrosio préfère porter un short en jean blanc avec un top tye & die.

Mais la plus audacieuse est incontestablement Rihanna ! C'est dans un short de boxe rayé que la chanteuse parade à Miami, juchée sur des sandales à talons de 15 centimètres. Difficile de faire plus intrépide ! La jeune femme nous met K.-O. avec ce look sporty et stylé.
 Eva Longoria prouve que le short peut être élégant et glamour.jpg
Kate Walsh a des jambes sublimes, elle n'hésite pas à les montrer !.jpg

Source : purepeople

Selena Gomez : Prépare un album anglais et espagnol

Selena Gomez reviendra plus vite que prévu à la musique. La jeune femme a annoncé qu'elle enregistrait deux albums, l'un en anglais et l'autre en espagnol.


Alors que Selena Gomez avait annoncé vouloir se consacrer au cinéma cette année, la jeune femme semble avoir changé d'avis. En effet, elle a révélé avoir commencé à travailler sur ses prochaines chansons et ce n'est pas un mais deux albums qui sont prévus. L'un en anglais et l'autre en espagnol. La chanteuse enregistre des titres entre ses tournages pour le grand écran. "C'est à un stade intermédiaire parce que je veux sortir un quatrième album et un autre en espagnol. J'ai encore quelques chansons à faire et il sortira, je le promets", explique-t-elle à Hollywood Life.

En attendant ses nouvelles chansons, Selena Gomez continue la promotion de son album, When the sun goses down puisqu'elle a interprété son dernier single, Hit The Lights, lors de l'émission Dancing with the stars le 17 avril dernier. La jeune femme repartira aussi bientôt sur le tournage de son nouveau film, The Getaway aux côtés d'Ethan Hawke. Un second long métrage pour elle après avoir tourné avec James Franco dans Spring Breakers en mars dernier. Selena Gomez a de nombreux projets.

Réf: news-de-stars

L'acteur Adel Imam condamné pour son travail « blasphématoire »

La justice égyptienne a donné raison aux milieux islamistes en sanctionnant le célèbre acteur de « L'Immeuble Yacoubian ».

Un tribunal du Caire a confirmé mardi une peine de trois mois de prison contre Adel Imam. Ce célèbre acteur égyptien et ambassadeur de bonne volonté de l'ONU, a été condamné pour « diffamation envers l'islam » dans des rôles qu'il a interprétés, a-t-on appris de source judiciaire.

La peine initiale avait été prononcée en février dernier par contumace. L'acteur avait fait l'objet de poursuite de la part d'un avocat proche des milieux islamistes. Adel Imam a déclaré à l'AFP qu'il allait faire appel de cette décision. En attendant, il reste libre sous caution. « Beaucoup de gens me soutiennent », a-t-il affirmé sans vouloir faire plus de commentaires.

Le comédien de 71 ans, véritable star dans le monde arabe, avait été impliqué dans plusieurs affaires juridiques avec les islamistes qui considèrent son travail comme blasphématoire. Les œuvres mises en cause ? Le film Al-Irhabi (« Le terroriste »), dans lequel il joue le rôle d'un musulman fondamentaliste, et la pièce de théâtre Al-Zaeem (« Le leader »), une comédie où il tourne en dérision les leaders autocratiques de la région.« Tous les films ou pièces de théâtre dans lesquels j'ai joué ont été soumis à la censure. Si celle-ci les avait jugés diffamatoires, elle les aurait interdits », avait-il déclaré à l'époque.

Adel Imam a joué dans plus de 100 films et 10 pièces de théâtre, hautement appréciés du public arabe pour leur sarcasme à l'égard des leaders et des religieux. Lors d'un débat télévisé en 1998, le comédien avait eu une discussion très tendue avec trois islamistes des Frères musulmans, qui dominent aujourd'hui le Parlement égyptien. Depuis 2000, il a servi comme ambassadeur de bonne volonté pour le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), comme beaucoup de stars du cinéma et du show-biz international, à l'instar d'Angelina Jolie.
Adel Imam a notamment joué dans « L'Immeuble Yacoubian », adapté du roman à succès de l'écrivain Alaa Al-Aswani. Le film avait obtenu en 2006 le Grand Prix IMA (Institut du monde arabe) du long métrage, et M. Imam avait reçu le prix du meilleur acteur avec Khaled al-Saxi et Nour al-Chérif.

Réf: nouvelobs.com

Stars : Les crânes rasés passés au peigne fin

Non, on ne va pas vous parler du coup de folie de Britney Spears (qui commence à dater) ni de Natalie Portman qui a prouvé que la beauté n'impliquait pas forcément chevelure de rêve. Les crânes rasés qui nous intéressent aujourd'hui n'appartiennent qu'à la gente masculine. Comment les préférez-vous ?

Ils font partie des stars américaines les plus médiatisées. Et pour cause : talent, célébrité et plastique de rêve, ils ont tout pour plaire. De Jude Law à Robert Pattinson en passant par Jake Gyllenhaal : ils sont bien nombreux ces acteurs que l'on traite comme de véritables sex-symbols qui font rêver la planète entière. Mais ils présentent également tous une caractéristique en commun, et pas des plus glamours. Plus ou moins récemment, tous se sont en effet, retrouvés le crâne rasé.

D'abord, il y a ceux qui ont dû dire adieu à leurs cheveux choyés et faussement décoiffés pour les besoins d'un rôle. C'est la cas de Matthew McConaughey qui sera à l'affiche de Thunder Run en 2013, un film qui raconte la prise de Bagdad par les troupes US. En 2003, Colin Farrell se rase le crâne pour jouer dans Daredevil. Même punition pour Matt Damon (Elysium, 2013) et Jake Gyllenhaal (End of Watch, 2012). Mais tous n'ont pas été contraints et forcés ! Une fois son contrat avec Twilight terminé, Robert Pattinson a enfin pu se débarrasser de sa crinière qu'il devait jusqu'alors garder pour continuer de faire fantasmer les fans de la saga. Jude Law a lui simplement décidé d'arrêter de dissimuler sa calvitie naissante. Résultat : il rase et ne se cache plus !

Et du côté des français, on a nous aussi nos petits favoris qui sont passés par la case "crâne découvert". En se rasant le crâne, Ma Pokora persiste et signe : le plus Timberlake des chanteurs français, c'est lui ! Quand au candidat Norbert de Top Chef, il est passé à la casserole pour faire un clin d’œil amical à un autre candidat de l'émission.

Réf: news-de-stars.com

Ayem pique Karim Benzema à Jenifer

Ayem de Secret Story serait en couple avec Karim Benzema, qu’elle aurait piqué à Jenifer, la jeune coach de «The Voice».


On pensait l’ex de « Secret Story » et de « Hollywood Girls », sur le point de se marier avec Paul, rencontré à Los Angeles où il officie comme consultant dans la restauration. Même il ne s’en serait rien.

Celle qui aurait déjà fréquenté dans le passé Booba ou encore l’attaquant de l’Olympique lyonnais Bafétimbi Gomis aurait posé son dévolu sur un autre footballeur, en l’occurrence, Karim Benzema, alors que celui-ci était supposé être engagé dans une relation amoureuse avec Jenifer.

C’est du moins ce que nous annonce dans son dernier numéro, le magazine «Public», en kiosques demain.
 Evidemment, on ne manquera pas de revenir sur cette relation en long et en large…
 Ayem n’est pas la seule de « Secret Story » à filer le parfait amour avec un footballeur, c’est également le cas d’Emilie, laquelle est en couple depuis un an avec Jeremy Menez, meilleur ami de Karim Benzema.

pipole.net

Jenifer : "Avec The Voice, je prends mon pied"

Depuis sept semaines, Nikos Aliagas anime avec brio la toute première saison de The Voice qui chaque samedi rassemble des millions de téléspectateurs. Dans une interview accordée  au magazine Télé Cable Sat, ce dernier parle de l'évolution musicale de sa petite protégée, Jenifer, coach dans le télé-crochet musical.

La belle et pétillante Jenifer n'est plus à présenter ! Découverte dans la première saison de la Star Academy qu'elle a brillamment remporté il y a dix ans, la chanteuse fait aujourd'hui partie du jury de The Voice sur TF1. Dans une interview accordée au magazine Télé 7 Jours, la jeune femme a évoqué son expérience de jurée dans le télé-crochet. Alors que nous découvrirons samedi le huitième prime de cette aventure musicale, Jenifer n'a pas hésité à se confier dans les pages du magazine qui paraîtra dans les kiosques lundi prochain.

Sans langue de bois, elle revient sur ses premiers pas dans la musique et sur le chemin qu'elle a parcouru depuis sa sortie de la Star Academy en 2002. "Cela me semble à des années-lumières et j'ai l'impression que c'était hier, c'est difficile à exprimer. Quand on dit que je ne suis pas une vraie chanteuse, cela me blesse (...) Mais j'essaie de ne pas le prendre trop à cœur", a-t-elle confié.

Il faut dire que depuis sa participation à The Voice, Jenifer fait l'objet de nombreuses critiques qui n'hésitent pas à pointer du doigt son manque d'expérience dans la chanson. Une polémique qui ne surprend pas la jeune femme. "Je m'y attendais. Dès que je fais quelque chose de nouveau, je sais que cela ne fera pas l'unanimité. Chacun a son avis et je peux comprendre ces remarques", a-t-elle ajouté.

Prenant son rôle de coach très à cœur, Jenifer a pourtant avoué qu'elle avait "peur de blesser injustement un candidat" surtout depuis les battles et plus récemment les primes. "J'appréhende les moments où je vais devoir dire non à certains. J'ai énormément de mal à me livrer. La caméra me fait peur. Mais dans 'The Voice', je prends mon pied", a-t-elle confié.

Source : news-de-stars

"Twixt" - Coppola en panne

Thriller. Film de Francis Ford Coppola, avec Val Kilmer, Bruce Dern, Elle Fanning...
Sortie le 11 avril.
Un écrivain se fait entraîner par le shérif dans une mystérieuse histoire de meurtre dont la victime est une jeune fille (Elle Fanning) du coin. © Pathé Distribution

Il s'appelle Hall Baltimore, arbore une triste cinquantaine et commet des livres d'horreur qui peinent (euphémisme) à trouver leur public. En tournée improbable dans les petites villes américaines pour la promotion de son dernier ouvrage, le Stephen King du pauvre déboule dans une étrange bourgade qui semble la proie de phénomènes paranormaux. Hall y découvre un shérif énigmatique, le fantôme d'une adolescente et même l'ombre d'Edgar Allan Poe...

Depuis vingt ans et son ambitieux Dracula, l'immense Francis Ford Coppola semble ne plus savoir à quel saint cinématographique se vouer. Entre longues éclipses et "petits" films rapidement bricolés, le cinéaste américain majeur des années 70 (Le parrain, Apocalypse Now) ne semble plus animé par une véritable ambition artistique. Dans Twixt, Coppola mêle plusieurs genres : le fantastique, la parodie, la série Z... Si certains plans (trop rares) rappellent le talent du cinéaste et si la partition de Val Kilmer (méconnaissable) arrache quelques sourires, le film sombre rapidement dans l'insignifiance et un certain ridicule. Coppola, surtout en France, compte encore de nombreux supporters inconditionnels parmi les critiques. Seraient-ils aussi enthousiastes si son patronyme ne figurait pas au générique ?

La bande-annonce de "Twixt"



"My Week with Marilyn" - La comédie impossible

Comédie romantique. Film de Simon Curtis. Avec Michelle Williams, Eddie Redmayne, Kenneth Branagh, Julia Ormond, Judi Dench. Sortie le 4 avril.
"My Week with Marilyn" raconte les coulisses du tournage du film "Le prince et la danseuse" avec Marilyn Monroe (Michelle Williams) en 1957. © StudioCanal /

Au beau milieu des années 1990, un documentariste du nom de Colin Clark raconte dans un livre autobiographique sa semaine enchantée dans la campagne anglaise avec une Marilyn Monroe au faîte de sa beauté pendant le tournage du Prince et la danseuse (1957). Façon de livrer un portrait instantané d'une Marilyn de 30 ans, d'évoquer ses doutes, ses fragilités, son désir d'être une actrice sérieuse et l'espoir déçu du mariage avec Arthur Miller. Ce n'est pas là un mauvais sujet de film, au contraire, même s'il est périlleux de chercher à ressusciter autant de visages connus (Monroe, bien sûr, mais aussi Laurence Olivier, Vivien Leigh, Arthur Miller...).

Le vrai problème du film n'est pas là, même s'il est vrai que Branagh est un improbable Laurence Olivier, très loin du charisme de son modèle. Le réalisateur, Simon Curtis, cherche à faire de My Week with Marilyn une comédie romantique, alors que la Marilyn réelle, vulnérable et suicidaire est fatalement nimbée de tragédie. Dans sa vaine quête de légèreté, le film finit par se contenter d'aligner les clichés sur la personnalité troublée de Marilyn ainsi que sur l'autoritarisme de son metteur en scène, Laurence Olivier. Seule l'interprétation gracieuse de Michelle Williams (nommée à l'oscar de la meilleure actrice pour sa performance) sauve le film de l'ennui.

La bande-annonce

Source : lepoint.fr

Titanic en 3D : le phénomène repart

 
Kate Winslet et Leonardo DiCaprio dans Titanic en version 3D. Crédits photo : Paramount Pictures/AP

La reprise du film à grand spectacle de James Cameron talonne Le Marsupilami d'Alain Chabat.

Avec 1,7 million d'entrées, , d'Alain Chabat, réalise un bon score pour une comédie familiale sortie pour les vacances scolaires. Mais la bestiole jaune et poilue est confrontée à un rival de poids: le . Ressorti en 3D dans 331 ci­némas après quinze ans d'absence, le film de James Cameron a séduit un demi-million de spectateurs en une semaine. Pour une reprise, c'est un box-office historique. Il est vrai que la qualité artistique rassure les spectateurs qui veulent être sûrs de passer un bon moment. Or, non seulement l'histoire d'amour entre Leonardo DiCaprio et Kate Winslet n'a pas pris une ride, mais le travail de 3D de James Cameron est une valeur ajoutée exceptionnelle. Et ce, aussi bien pour les scènes spectaculaires que pour les huit clos dans les cabines.

Pour les exploitants, ce raz-de-marée est une surprise. «On ne savait pas trop sur quel pied danser, car 21 millions de Français avaient quand même déjà vu le film en 1998, or j'ai l'impression de revivre le même phénomène qu'il y a quinze ans», témoigne Frédéric Mouchel, directeur adjoint du multiplexe Mega CGR de Cherbourg, où les deux grandes salles réservées au Titanic sont pleines à craquer à chaque séance. Comme la ville vit à l'heure du Titanic depuis deux mois avec un compte-rendu quotidien dans le journal local La Presse de la Manche et une exposition à succès à la Cité de la mer, on pourrait se dire que cette ville est un cas isolé à cause de son passé. C'est en effet à Cherbourg que le Titanic a fait escale avant de prendre la direction de New York.

Mais pas du tout. «Le film fait salle comble dans toute la France. Nous sommes déjà assurés de dépasser le million d'entrées», se félicite Frédéric Monnereau, directeur des ventes de la Twentieh Century Fox France. À Paris, l'histoire d'amour entre Leonardo DiCaprio et Kate Winslet a attiré 106.000 spectateurs, contre 400.000 en province. À Marseille, le film a bien marché avec 12.000 entrées réparties entre les multiplexes de Plan de Campagne et celui des Trois Palmes.

Le plaisir d'aller au cinéma
Mais, le plus intéressant, c'est la composition du public. «Les 40-50 ans qui l'ont vu il y a quinze ans, viennent le revoir en couple avec une autre vision de la vie», remarque Jane Carter, directrice marketing de Twentieth Century Fox France. Et puis, il y a beaucoup de jeunes de 13 à 23 ans, garçons et filles mélangés. Eux n'ont jamais vu le film ou alors seulement en DVD. «Ils viennent en bande de six voir dix personnes dans le seul but de voir Titanic ensemble sur grand écran. C'est un phénomène très important qui démontre la force de la salle et qui va aider à redonner aux jeunes le plaisir d'aller au cinéma. Chez eux, ils ne se réunissent pas à dix pour voir un film», souligne Alexis Guillaume, directeur du Cézanne à Aix-en-Provence.

Source : lefigaro

The Avengers, «Pas une fausse note, le meilleur film Marvel»


Scarlett Johansson à l'avant-première mondiale de The Avengers à Los Angeles, le 11 avril 2012. Crédits photo : Matt Sayles/ASSOCIATED PRESS

Présenté hier à Los Angeles, en avant-première mondiale, le dernier-né de Marvel semble avoir subjugué la critique américaine. Premières réactions.

Dès la sortie du Capitan Theatre où avait lieu, hier soir, l'avant-première hollywoodienne de The Avengers, de nombreux journalistes se sont précipités sur Twitter pour y livrer leurs impressions à chaud. Aucune critique officielle ne sera publiée aux États-Unis avant le 2 mai (le film est sous embargo jusqu'à l'avant-veille de sa sortie) mais ces tweets révèlent déjà l'essentiel, à savoir si The Avengers est à la hauteur de l'attente qu'il suscite.

Et la réponse est manifestement OUI. Les réactions qui se sont succédé sur le réseau social vont du positif au dithyrambique. «Je viens de sortir de l'avant-première de The Avengers. J'ai aimé», a sobrement commenté le journaliste cinéma d'Entertainment Weekly, avant d'ajouter: «Sérieusement, si les films adaptés de comics sont votre truc, vous serez pleinement satisfaits par la recette que vous a concoctée Joss Whedon (le réalisateur, ndlr) dans The Avengers.» Une recette détaillée par le critique de Variety qui tweete: «Pas une fausse note. Innovant. BRUTAL. Et sacrément drôle.»


L'humour est apparemment l'un des grands points forts du film, salué à l'unanimité par la presse. «J'ai souri du début à la fin», confie le rédacteur en chef du site Collider. Et d'expliquer que «les deux choses qui rendent The Avengers formidable» sont «Hulk et l'humour». Hulk doit être particulièrement marquant car il revient souvent dans les commentaires et plusieurs journalistes complimentent Mark Ruffalo, «formidable en Bruce Banner».

Batman et Spider-Man n'ont qu'à bien se tenir 
À en croire ces tweets, The Avengers serait donc «épique», «le meilleur film de Marvel jusqu'à présent». Bien sûr, tout n'est pas parfait et les critiques évoquent quelques «problèmes dans la première moitié du film». Mais, affirment-ils, ces problèmes «sont éclipsés par ce qu'il y a de bon». Un journaliste conseille tout de même au public d'éviter la 3D, «sans intérêt» selon lui, et d'aller voir le film en 2D...

Contournant quelque peu l'embargo, un blogueur enthousiaste du site ComicBookMovie répond à certaines des principales préoccupations des fans:
«Pour ceux qui s'inquiétait de voir Joss Whedon (un réalisateur plus expérimenté sur le petit écran que sur le grand, ndlr) diriger ce film... vous vous êtes complètement plantés. Pour ceux qui craignaient que le nombre de personnage soit trop important pour un seul film... ce n'est pas un problème. Pour ceux qui pensaient que la Veuve Noire et Oeil-de-Faucon seraient sous-employés et auraient des rôles mineurs... ce n'est pas le cas. Pour ceux qui craignaient que tous les trailers, clips et publicités aient dévoilé les meilleures parties du film... ils n'ont même pas gratté la surface. Pour ceux qui ne croient pas que The Avengers sera LE film de super-héros de l'année... The Dark Knight Rises et The Amazing Spider-Man devront être étonnamment bons pour pouvoir s'emparer du titre.» Enthousiaste est un euphémisme.

Source : lefigaro

Cinéma : Ces chanteuses qui ont voulu devenir stars de cinéma


Rihanna entame sa carrière de comédienne avec «Battleship», en salles ce mercredi. Avant elle, d’autres popstars se sont risquées à cet exercice, avec un succès tout relatif...

Vous connaissiez Rihanna à moitié nue et provocante dans ses clips de R’n’B, vous pouvez désormais la découvrir en treillis, flanquée d’une mitrailleuse dans Battleship. Comme elle, Jennifer Lopez, Mariah Carey, Britney Spears et Beyoncé ont tenté une carrière au cinéma. Une mauvaise idée?

Jennifer Lopez, dans Angel Eyes (2001)

Jennifer Lopez vient de connaître ses premiers gros succès avec Love Don't Cost a Thing et I'm Real quand on la voit apparaître à l’affiche d’Angel Eyes, en 2001. Elle y joue un flic qui tombe amoureuse d’un vagabond au passé obscur. L’accueil mitigé du film ne décourage pas la chanteuse, aperçue ensuite dans Anaconda ou The Cell. J-Lo se spécialise ensuite en comédies romantiques comme Coup de foudre à Manhattan (2002), Sa mère ou moi (2005), Shall We Dance (2004). Ses performances ne font pas date mais elle se débrouille pour donner la réplique à des acteurs plutôt prestigieux comme Jane Fonda, Richard Gere ou Ralph Fiennes.


 Mariah Carey, dans Glitter (2002)

Mariah Carey y campe une jeune chanteuse dont la rencontre avec un DJ va bouleverser la carrière. L’affiche en dit long sur la forte teneur en kitsch du film. La performance de la chanteuse est allégrement raillée dans la presse, et lui vaut de recevoir en 2001 une «récompense»: celle de pire actrice de l’année (le film ayant été nommé cinq fois, dans les catégories de plus mauvais film, plus mauvais réalisateur, plus mauvais scénario, plus mauvais couple à l'écran, plus mauvais second rôle). Son rôle aura décidément marqué les esprits, puisque Mariah Carey est nommée en 2010 dans la catégorie de pire actrice de la décennie. Mais Paris Hilton l’a finalement détrônée. Damn it.

 Britney Spears, dans Crossroads (2002)

 C’est le premier et unique film à ce jour où la popstar détient un rôle aussi important. Britney Spears y joue une petite fille sage qui, avec ses deux amies (Zoe Saldna et Taryn Manning), part à la recherche de sa mère à travers les Etats-Unis. Le film reçoit une bonne flopée de critiques négatives. Sur Rotten Tomatoes, le site américain qui agrège les critiques de films, Crossroads peine à cumuler les 14% d’approbation... «Projet cliché et stupide reflétant la vanité de la popstar, Crossroads est uniquement destiné aux fans de Britney Spears», tranche le site.


 Beyoncé Knowles, dans Austin Power dans Goldmember (2002)

 En 2002, Beyoncé vient de quitter les Destiny’s Child pour se lancer une carrière solo. Elle débute au cinéma en interprétant Foxxy Cleopatra, l’ex d’Austin Powers. On la revoit plus tard en 2006 dans Dreamgirls, un film musical sur Diana Ross & The Supremes. Deux rôles relativement oubliés qui ont pourtant tapé dans l’œil de Clint Eastwood… En effet, on l’a appris récemment: son talent d’actrice convainc le réalisateur, qui a fait appel à elle pour son remake d’A Star is Born. Le film s’inspirera de la vie de Kurt Cobain, et Beyoncé y jouera face à Tom Cruise, choisi pour incarner la légende de Nirvana au grand désespoir des fans du groupe.


Réf:20minutes

Décès de Mike Wallace, journaliste légendaire de la télévision américaine

NEW YORK - Mike Wallace, l'un des journalistes légendaires de la télévision américaine, est décédé à l'âge de 93 ans, a annoncé dimanche la chaîne de télévision CBS.


En 60 ans de carrière, Wallace, décrit dimanche par CBS comme un journaliste "pitt-bull", s'était distingué par ses entretiens intransigeants de nombreuses célébrités et dirigeants internationaux dont Vladimir Poutine, l'ayatollah Khomeini ou encore Yasser Arafat.

Il avait aussi interviewé Malcolm X peu avant son assassinat, "ses amis les Reagan, John F. Kennedy, Lyndon Johnson, Jimmy Carter, et même Eleanor Roosevelt", selon CBS.

La chaîne de télévision a souligné sa "contribution extraordinaire", notamment à l'émission d'information hebdomadaire "60 minutes" dont il avait été l'un des pionniers lors de son lancement en 1968. Il en avait pris sa retraite en 2006, continuant cependant à y collaborer de temps en temps.

"Sans lui, il n'y aurait probablement pas eu de +60 minutes+", a estimé le président de CBS news Jeff Fager dans un communiqué, en évoquant une personnalité "drôle et féroce".

Leonard Bernstein, Luciano Pavarotti, Janis Joplin, Tina Turner, Salvador Dali, Barbra Streisand (qu'il avait fait pleurer en 1991), tous étaient passés sur le grill des questions et commentaires de Mike Wallace.

Il avait "avait pratiquement inventé pour la télévision ce style d'entretien" sans concession, selon CBS.

Il n'avait pas hésité à dire à l'ayatollah Khomeini en 1979 que le président égyptien Sadate le considérait "comme un fou". L'ayatollah avait répondu en traitant M. Sadate d'hérétique.

Mike Wallace avait fait ses débuts à la radion en 1940, avant de devenir animateur de jeux télévisés dans les années 50, puis journaliste dans les années 60.

Son interview en août 2006 du président iranien Mahmoud Ahmadinejad lui avait valu une 21e Emmy award, à l'âge de 89 ans. Il avait aussi obtenu pour CBS en 2007 l'interview du "docteur de la mort" Jack Kervorkian.

Martin Luther King était son héros.

Il avait fait sa dernière interview pour "60 minutes" en janvier 2008.

Il est décédé samedi soir à New Canaan, dans le Connecticut (nord-est) entouré des siens, a précisé CBS.

Britney Spears : Evanna Lynch a envie d'incarner son rôle au cinéma

Evanna Lynch, l'une des héroïnes d'Harry Potter, vient de révéler qu'elle adorerait incarner Britney Spears au cinéma. 


Du haut de ses 20 ans, la belle Evanna Lynch entretient un rêve bien particulier. Comme l'a révélé Showbizspy, après avoir incarné l'étrange Luna Lovegood dans plusieurs opus de la saga Harry Potter, la belle aimerait entrer dans la peau de Britney Spears afin de retranscrire sa vie au cinéma. "Les gens rient quand je dis ça mais j'adorerais incarner Britney Spears au cinéma. Elle est très compliquée et je m'associe à elle. Il y a tellement de popstars célèbres en ce moment qui ne se limitent qu'à leur image. Prenez par exemple Lady Gaga, je l'apprécie beaucoup et j'aime sa musique mais je ne m'associe pas à elle car elle a cette image si particulière. Elle est étrange et parfaite à la fois alors que Britney est riche, cool et belle, ce qui ne l'a pas empêchée de montrer sa vulnérabilité. Elle a notamment pété les plombs sous les regards du monde entier", a révélé Evanna Lynch.

"Ça demandait énormément de force et de courage de traverser tout cela. Je crois simplement qu'elle est plus compliquée qu'on ne le croit. Je pense également que ce serait une bonne opportunité de perdre l'image de Luna. Et j'adore danser", a-t-elle ajouté avant de préciser qu'elle aurait également beaucoup apprécié d'avoir un rôle dans The Hunger Games. "J'aurais adoré avoir un rôle dans The Hunger Games. J'ai beaucoup aimé les livres mais je ne sais pas qui j'aurais voulu incarner et quel personnage j'aurais pu camper. Jennifer Lawrence porte vraiment le film avec talent. Elle est incroyable !", a conclu la star.


Réf : news-de-stars.com

Jennifer Lawrence - La star du cinéma américain

Mais, qui est Jennifer Lawrence ?!


La star montante du cinéma américain commence à se faire une place de privilège au sein du système. Jennifer Lawrence, qui vous a certainement plu dans Le complexe du castor avec Jodie Foster ou encore dans Hunger Games actuellement, attise la curiosité des spectateurs à chaque film qu'elle tourne. Mais qui est vraiment cette jeune femme à la bouille d'ange? Gros plan sur sa carrière !

Elle est l'actrice la plus en vogue ces dernières semaines grâce à Hunger Games dont elle est l'actrice principale. Malgré d'autres petits rôles qui ont permis à Jennifer Lawrence de rentrer dans le milieu du cinéma, Hunger Games a propulsé la jeune femme au rang de star. Mis à part, son rôle de Katniss dans le palpitant jeu virtuel, la belle fait la une des journaux pour son physique. Beaucoup de médias lui reprochent de ne pas rentrer dans les normes physiques actuelles. Pour sûr, la génération actuelle impose des dictats de minceur qui ne sont pas du goût de Jennifer. Gros plan sur ses débuts.

Jennifer a vu le jour en 1990 à Louisville dans le Kentucky. Elle a mené une enfance et une scolarité paisibles, au cours de laquelle elle était pom pom girl. Par la suite, Jennifer s'est faite remarquée dans des publicités pour lesquelles elle avait passé des castings. Plus tard, elle apparaît dans des séries comme Monk, Cold Case ou Medium. Malgré l'engouement des téléspectateurs pour les séries, Jennifer ne se fait pas remarquer plus que ça. C'est en 2008, dans le film Loin de la terre brûlée qu'elle se démarque. Elle y joue la fille de Kim Basinger, aux côtés de la belle Charlize Theron. Selon Gala, sa prestation lui vaut le prix Marcello Mastroianni du meilleur jeune espoir à la Mostra de Venise de 2008. Jennifer n'a alors que 18 ans et une prestigieuse récompense pour lui servir de tremplin ! Révélée dans le film indépendant Winter's Bone en 2010, elle est récompensée à 20 ans d'une nomination aux Oscars. 

Elle enchaîne ensuite de plus grosses productions avec notamment le Complexe du castor, dans lequel elle joue avec Jodie Foster et Mel Gibson. La même année, Nathalie Portman était en lice aux Oscars pour défendre Black Swan et y remporte la statuette face à Jennifer. En 2011, elle se fraye un chemin vers la reconnaissance avec X-men : Le commencement, où elle incarne Mystique. Depuis, avec le colossal Hunger Games, la belle s'est bel et bien imposée comme figure incontournable du cinéma américain. Selon Purepeople, la comédienne sera l'héroïne du film d'horreur House at the End of the Street ainsi que de la comédie The Silver Linings Playbook avec Robert De Niro et Bradley Cooper. Pour finir, elle sera bientôt sur le tournage de Serena de Susanne Bier, qui avait été écrit au départ pour Angelina Jolie. La belle s'en amuse et déclare "Je n'ai pas un statut qui me permet d'avoir ses rôles. Soyons clairs, j'ai ses restes. Elle me l'a laissé. J'écope de ses poubelles. Non, je suis à un endroit merveilleux de ma carrière. Je suis une actrice qui se fraye un chemin à travers les poubelles d'Angelina Jolie. J'ai réussi." Nous on serait plus tenté de dire que si Jennifer ne cesse de décrocher les rôles, c'est grâce à son talent ! Cela dit, de l'humour en plus du talent et de la beauté, ça ne se refuse pas de nos jours ! 

Physiquement, même si son physique ne plaît pas à certains, la talentueuse actrice avoue sans complexe: "Je ne suis pas vraiment de régime ou quoi que ce soit. Je me sens misérable quand je suis au régime et j'aime ma silhouette. Je n'en peux vraiment plus de toutes ces actrices qui ressemblent à des oiseaux... Je préférerais être un peu joufflue au cinéma et ressembler à une vraie personne, qu'être superbe sur un écran et ressembler à un corbeau dans la vraie vie." D'ailleurs, elle avouait récemment avoir "envie de taper ceux qui disent qu'ils aiment faire du sport". On la comprend tout à fait et à voir ses jolies courbes et sa mine radieuse on opterait davantage pour elle que pour Kate Moss ! Côté cœur, Jennifer file le parfait amour avec Nicolas Hoult, son partenaire dans X-men : Le commencement et d'ici que les médias prennent leur love story comme cible, la belle a de nombreux projets à finaliser !

Réf : news-de-stars.com

Nouveau Départ : un film familial, drôle et touchant

Nouveau Départ (We Bought A Zoo) est le nouveau film de Cameron Crowe (Rencontres à Elizabethtown, Vanilla Sky, Presque célèbre, Jerry Maguire). Il sortira au cinéma le 18 avril 2012. Le film s’appuie sur l’histoire vraie de Benjamin Mee, il a rédigé ses mémoires : We Bought a Zoo : The Amazing True Story of a Broken-Down Zoo, and the 200 Animals That Changed a Family Forever.

 Père célibataire, Benjamin Mee a bien du mal à élever ses deux jeunes enfants. Espérant resserrer les liens familiaux, il décide de prendre un nouveau départ, plaque son travail et achète une vieille maison sur une immense propriété, qui a la particularité d’abriter un zoo délabré. Plusieurs dizaines d’animaux, ours, tigres et bien d’autres, vivent en effet au Rosemoor Animal Park, où la gardienne Kelly Foster et son équipe dévouée tentent de maintenir les installations tant bien que mal. Sans la moindre expérience, avec très peu de temps et d’argent, Benjamin Mee et les siens vont tout mettre en œuvre pour réhabiliter le zoo et vivre ainsi leur plus grande aventure…

Casting : Matt Damon, Scarlett Johansson, Thomas Haden Church, Colin Ford, Angus Macfadyen, Elle Fanning, Patrick Fugit, John Michael Higgins, Maggie Elizabeth Jones, Stephanie Szostak.

Quand Cameron Crowe s’approche d’une caméra on a toujours un peu peur du résultat, certains de ses films sont géniaux et d’autres vraiment moins bons. Ce coup ci il s’attaque à la comédie familiale avec l’adaptation d’une histoire vraie, celle de Benjamin Mee qui déménage dans un zoo avec ses enfants.

Le film parle de cette famille déchirée par la mort encore trop récente de la mère, le père est bien décidé à avancer avec ses enfants, à les rendre heureux. La solution lui tombe dessus lorsqu’un agent immobilier l’emmène dans un ancien Zoo, il va vivre ici avec sa famille et sauver le zoo afin de le ré-ouvrir. Une aventure qu’il fera avec ses enfants mais aussi l’équipe d’entretien du zoo et de ses habitants.

Entre les tigres, lions, ours, vautours, zébus, autruches, capucins, zèbres, léopards et même porcs-épics, on aperçoit un beau petit casting : la charmante Scarlett Johansson, le toujours partout Matt Damon et surtout dans le coin de l’écran la toute nouvelle mignonne trognone Maggie Elizabeth Jones ! Cette jeune actrice vole toutes les scènes aux autres, elle a le pouvoir charmeur de trois bébés chats ! Une vraie petite puce qui joue très bien et qui s’impose bien plus que Scarlett !

Si l’histoire est un peu gnangnan, que la comédie familiale est facile, que le drame fait verser un peu de larme … on est pourtant pas du tout gêné ! Cameron Crowe nous tartine de chamallow, nous emballe dans du coton et on aime ça. C’est dingue de réussir à nous emporter dans cette histoire tellement simple, tellement mignonne, tellement larmoyante, dans ces clichés mielleux ! On se fait avoir et on s’enfonce là dedans !

Le film est parfaitement maîtrisé, on ne s’ennuie pas un instant, il n’y a aucun temps mort ! Pas de gros discours, pas de scènes mortes ce qui nous permet d’accrocher aussi bien je pense au film. Ce super papa qui sauve le zoo tel un super héros tout en rendant heureuse sa famille avec en bonus des rencontres animalière très impressionnantes : le grizzly dans la rue, le vieux tigre, les porcs-épics…

Les gros mauvais points du film sans l’histoire d’adolescent, l’histoire du jeune fils dépressif aigri qui fait la rencontre de la superbe ado du zoo. Si Elle Fanning est irréprochable on ne peut pas en dire autant du jeune garçon. Son jeu parait tellement faux, il casse vraiment le film avec ses interventions et c’est dommage car sinon j’aurai eu du mal à ne pas lui trouver de mauvaises choses.

Nouveau Départ est un film pour toute la famille, drôle, touchant et surtout on ne se fait avoir comme des bleus avec le mielleux et le gnangnan de ce feel-good movie ! Ma note : 8/10 à voir avec sa famille et laisse son coeur se faire porter par l’histoire.

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Nouveau Départ : un film familial, drôle et touchant

Nouveau Départ (We Bought A Zoo) est le nouveau film de Cameron Crowe (Rencontres à Elizabethtown, Vanilla Sky, Presque célèbre, Jerry Maguire). Il sortira au cinéma le 18 avril 2012. Le film s’appuie sur l’histoire vraie de Benjamin Mee, il a rédigé ses mémoires : We Bought a Zoo : The Amazing True Story of a Broken-Down Zoo, and the 200 Animals That Changed a Family Forever.

 Père célibataire, Benjamin Mee a bien du mal à élever ses deux jeunes enfants. Espérant resserrer les liens familiaux, il décide de prendre un nouveau départ, plaque son travail et achète une vieille maison sur une immense propriété, qui a la particularité d’abriter un zoo délabré. Plusieurs dizaines d’animaux, ours, tigres et bien d’autres, vivent en effet au Rosemoor Animal Park, où la gardienne Kelly Foster et son équipe dévouée tentent de maintenir les installations tant bien que mal. Sans la moindre expérience, avec très peu de temps et d’argent, Benjamin Mee et les siens vont tout mettre en œuvre pour réhabiliter le zoo et vivre ainsi leur plus grande aventure…

Casting : Matt Damon, Scarlett Johansson, Thomas Haden Church, Colin Ford, Angus Macfadyen, Elle Fanning, Patrick Fugit, John Michael Higgins, Maggie Elizabeth Jones, Stephanie Szostak.

Quand Cameron Crowe s’approche d’une caméra on a toujours un peu peur du résultat, certains de ses films sont géniaux et d’autres vraiment moins bons. Ce coup ci il s’attaque à la comédie familiale avec l’adaptation d’une histoire vraie, celle de Benjamin Mee qui déménage dans un zoo avec ses enfants.

Le film parle de cette famille déchirée par la mort encore trop récente de la mère, le père est bien décidé à avancer avec ses enfants, à les rendre heureux. La solution lui tombe dessus lorsqu’un agent immobilier l’emmène dans un ancien Zoo, il va vivre ici avec sa famille et sauver le zoo afin de le ré-ouvrir. Une aventure qu’il fera avec ses enfants mais aussi l’équipe d’entretien du zoo et de ses habitants.

Entre les tigres, lions, ours, vautours, zébus, autruches, capucins, zèbres, léopards et même porcs-épics, on aperçoit un beau petit casting : la charmante Scarlett Johansson, le toujours partout Matt Damon et surtout dans le coin de l’écran la toute nouvelle mignonne trognone Maggie Elizabeth Jones ! Cette jeune actrice vole toutes les scènes aux autres, elle a le pouvoir charmeur de trois bébés chats ! Une vraie petite puce qui joue très bien et qui s’impose bien plus que Scarlett !

Si l’histoire est un peu gnangnan, que la comédie familiale est facile, que le drame fait verser un peu de larme … on est pourtant pas du tout gêné ! Cameron Crowe nous tartine de chamallow, nous emballe dans du coton et on aime ça. C’est dingue de réussir à nous emporter dans cette histoire tellement simple, tellement mignonne, tellement larmoyante, dans ces clichés mielleux ! On se fait avoir et on s’enfonce là dedans !

Le film est parfaitement maîtrisé, on ne s’ennuie pas un instant, il n’y a aucun temps mort ! Pas de gros discours, pas de scènes mortes ce qui nous permet d’accrocher aussi bien je pense au film. Ce super papa qui sauve le zoo tel un super héros tout en rendant heureuse sa famille avec en bonus des rencontres animalière très impressionnantes : le grizzly dans la rue, le vieux tigre, les porcs-épics…

Les gros mauvais points du film sans l’histoire d’adolescent, l’histoire du jeune fils dépressif aigri qui fait la rencontre de la superbe ado du zoo. Si Elle Fanning est irréprochable on ne peut pas en dire autant du jeune garçon. Son jeu parait tellement faux, il casse vraiment le film avec ses interventions et c’est dommage car sinon j’aurai eu du mal à ne pas lui trouver de mauvaises choses.

Nouveau Départ est un film pour toute la famille, drôle, touchant et surtout on ne se fait avoir comme des bleus avec le mielleux et le gnangnan de ce feel-good movie ! Ma note : 8/10 à voir avec sa famille et laisse son coeur se faire porter par l’histoire.

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La star du cinéma américain - Jennifer Lawrence

Mais, qui est Jennifer Lawrence ?!


La star montante du cinéma américain commence à se faire une place de privilège au sein du système. Jennifer Lawrence, qui vous a certainement plu dans Le complexe du castor avec Jodie Foster ou encore dans Hunger Games actuellement, attise la curiosité des spectateurs à chaque film qu'elle tourne. Mais qui est vraiment cette jeune femme à la bouille d'ange? Gros plan sur sa carrière !

Elle est l'actrice la plus en vogue ces dernières semaines grâce à Hunger Games dont elle est l'actrice principale. Malgré d'autres petits rôles qui ont permis à Jennifer Lawrence de rentrer dans le milieu du cinéma, Hunger Games a propulsé la jeune femme au rang de star. Mis à part, son rôle de Katniss dans le palpitant jeu virtuel, la belle fait la une des journaux pour son physique. Beaucoup de médias lui reprochent de ne pas rentrer dans les normes physiques actuelles. Pour sûr, la génération actuelle impose des dictats de minceur qui ne sont pas du goût de Jennifer. Gros plan sur ses débuts.

Jennifer a vu le jour en 1990 à Louisville dans le Kentucky. Elle a mené une enfance et une scolarité paisibles, au cours de laquelle elle était pom pom girl. Par la suite, Jennifer s'est faite remarquée dans des publicités pour lesquelles elle avait passé des castings. Plus tard, elle apparaît dans des séries comme Monk, Cold Case ou Medium. Malgré l'engouement des téléspectateurs pour les séries, Jennifer ne se fait pas remarquer plus que ça. C'est en 2008, dans le film Loin de la terre brûlée qu'elle se démarque. Elle y joue la fille de Kim Basinger, aux côtés de la belle Charlize Theron. Selon Gala, sa prestation lui vaut le prix Marcello Mastroianni du meilleur jeune espoir à la Mostra de Venise de 2008. Jennifer n'a alors que 18 ans et une prestigieuse récompense pour lui servir de tremplin ! Révélée dans le film indépendant Winter's Bone en 2010, elle est récompensée à 20 ans d'une nomination aux Oscars. 

Elle enchaîne ensuite de plus grosses productions avec notamment le Complexe du castor, dans lequel elle joue avec Jodie Foster et Mel Gibson. La même année, Nathalie Portman était en lice aux Oscars pour défendre Black Swan et y remporte la statuette face à Jennifer. En 2011, elle se fraye un chemin vers la reconnaissance avec X-men : Le commencement, où elle incarne Mystique. Depuis, avec le colossal Hunger Games, la belle s'est bel et bien imposée comme figure incontournable du cinéma américain. Selon Purepeople, la comédienne sera l'héroïne du film d'horreur House at the End of the Street ainsi que de la comédie The Silver Linings Playbook avec Robert De Niro et Bradley Cooper. Pour finir, elle sera bientôt sur le tournage de Serena de Susanne Bier, qui avait été écrit au départ pour Angelina Jolie. La belle s'en amuse et déclare "Je n'ai pas un statut qui me permet d'avoir ses rôles. Soyons clairs, j'ai ses restes. Elle me l'a laissé. J'écope de ses poubelles. Non, je suis à un endroit merveilleux de ma carrière. Je suis une actrice qui se fraye un chemin à travers les poubelles d'Angelina Jolie. J'ai réussi." Nous on serait plus tenté de dire que si Jennifer ne cesse de décrocher les rôles, c'est grâce à son talent ! Cela dit, de l'humour en plus du talent et de la beauté, ça ne se refuse pas de nos jours ! 

Physiquement, même si son physique ne plaît pas à certains, la talentueuse actrice avoue sans complexe: "Je ne suis pas vraiment de régime ou quoi que ce soit. Je me sens misérable quand je suis au régime et j'aime ma silhouette. Je n'en peux vraiment plus de toutes ces actrices qui ressemblent à des oiseaux... Je préférerais être un peu joufflue au cinéma et ressembler à une vraie personne, qu'être superbe sur un écran et ressembler à un corbeau dans la vraie vie." D'ailleurs, elle avouait récemment avoir "envie de taper ceux qui disent qu'ils aiment faire du sport". On la comprend tout à fait et à voir ses jolies courbes et sa mine radieuse on opterait davantage pour elle que pour Kate Moss ! Côté cœur, Jennifer file le parfait amour avec Nicolas Hoult, son partenaire dans X-men : Le commencement et d'ici que les médias prennent leur love story comme cible, la belle a de nombreux projets à finaliser !

Réf : news-de-stars.com

Britney Spears : Evanna Lynch a envie d'incarner son rôle au cinéma


Evanna Lynch, l'une des héroïnes d'Harry Potter, vient de révéler qu'elle adorerait incarner Britney Spears au cinéma. 

Du haut de ses 20 ans, la belle Evanna Lynch entretient un rêve bien particulier. Comme l'a révélé Showbizspy, après avoir incarné l'étrange Luna Lovegood dans plusieurs opus de la saga Harry Potter, la belle aimerait entrer dans la peau de Britney Spears afin de retranscrire sa vie au cinéma. "Les gens rient quand je dis ça mais j'adorerais incarner Britney Spears au cinéma. Elle est très compliquée et je m'associe à elle. Il y a tellement de popstars célèbres en ce moment qui ne se limitent qu'à leur image. Prenez par exemple Lady Gaga, je l'apprécie beaucoup et j'aime sa musique mais je ne m'associe pas à elle car elle a cette image si particulière. Elle est étrange et parfaite à la fois alors que Britney est riche, cool et belle, ce qui ne l'a pas empêchée de montrer sa vulnérabilité. Elle a notamment pété les plombs sous les regards du monde entier", a révélé Evanna Lynch.

"Ça demandait énormément de force et de courage de traverser tout cela. Je crois simplement qu'elle est plus compliquée qu'on ne le croit. Je pense également que ce serait une bonne opportunité de perdre l'image de Luna. Et j'adore danser", a-t-elle ajouté avant de préciser qu'elle aurait également beaucoup apprécié d'avoir un rôle dans The Hunger Games. "J'aurais adoré avoir un rôle dans The Hunger Games. J'ai beaucoup aimé les livres mais je ne sais pas qui j'aurais voulu incarner et quel personnage j'aurais pu camper. Jennifer Lawrence porte vraiment le film avec talent. Elle est incroyable !", a conclu la star.


source: news-de-stars

En France et à Hollywood : la fin du star-system


La multiplication des films à succès sans vedettes comme Hunger Games et La Guerre est déclarée oblige les agents à gérer les carrières de façon beaucoup plus fines.

À Hollywood, le triomphe de Hunger Games sans star au cachet exorbitant à l'affiche, est un tournant. «Le star-system est irrévocablement cassé, estime Dorothy Pomerantz, experte en économie du cinéma et chef du bureau de Forbes à Los Angeles. Même dans les franchises comme Spider-Man, le public se moque de savoir s'il va voir Tobey Maguire ou Andrew Garfield qui coûte beaucoup moins cher. Maintenant, les studios leur disent: nous ne vous payerons plus 20 millions de dollars car nous pouvons tourner ce film avec quelqu'un de moins connu pour 5 millions. La star a alors le choix entre réduire significativement son cachet ou supporter de ne pas travailler.»

Pour les stars de la A-List, c'est la fin d'une époque. «À Hollywood, leurs salaires ont toujours été cycliques, rappelle Tim Gray, rédacteur en chef de Variety, la bible du cinéma mondial. Dans les années 60, Elizabeth Taylor avait obtenu 1 million de dollars pour Cléopâtre. Dans les années 70, Marlon Brando était à 6 millions pour Superman.» Mais c'est dans les années 80 que les stars ont vraiment pris le pouvoir. «Elles gagnaient plus d'argent que les studios car elles avaient des «first dollar deals» où elles touchaient avant tout le monde, un pourcentage des recettes du box-office dès le premier dollar engrangé», détaille Tim Gray. Ce type de contrat a aujourd'hui disparu car la crise de 2008 est passée par là. Plusieurs événements sont arrivés simultanément. L'argent qui venait de Wall Street s'est subitement tari. Le marché des DVD s'est écroulé. Dès lors, la liste des acteurs qui pouvaient prétendre à plus de 20 millions de dollars s'est effiloché. De nombreuses stars ont disparu de la fameuse A-list: Eddie Murphy, Tom Cruise, Nicole Kidman, Jim Carrey…. «Pour jouer dans des films qui les intéressaient artistiquement comme Les Marches du pouvoir et The Tree of Life, les grands acteurs comme George Clooney et Brad Pitt ont alors commencé à moduler leurs cachets en fonction des budgets, explique Tim Gray. Et c'est seulement en commençant à écrire, réaliser et coproduire qu'ils arrivent à des sommes qu'ils touchaient autrefois en tant qu'acteurs.» L'impact sur les carrières est énorme. Dans les années 30, les studios formataient les acteurs comme Shirley Temple et Greta Garbo pour un type donné de films. En 2012, les stars américaines alternent les superproductions avec des films indépendants et multiplient les rôles radicalement différents. C'est justement en prenant de tels risques que Leonardo DiCaprio et Johnny Depp arrivent en tête du dernier palmarès des acteurs les mieux payés d'Hollywood, une enquête annuelle de Dorothy Pomerantz pour Forbes.

Avec un peu de retard, le même phénomène arrive en France. Après Des hommes et des dieux, Un Prophète et Tout ce qui brille en 2010, les films les plus rentables en 2011 selon Le Film Français sont La guerre est déclarée, Polisse, Rien à déclarer, Tomboy, Moi, Michel G, milliardaire, Pater et Angèle et Tony. Aucun de ces films n'avait de star au générique. En réussissant à conjuguer film de qualité à des succès commerciaux, ce sont leurs réalisateurs, notamment Valérie Donzelli et Maiwenn qui sont devenues des marques. Dorénavant, y compris dans les multiplexes, le public ira au cinéma pour elles et non plus pour leurs acteurs. Plus éduqué, le public est plus exigeant. C'est ainsi qu'un nombre record de têtes d'affiche ont mordu la poussière. C'est ce qui est arrivé à Christian Clavier, Jean Reno, Mélanie Laurent, Clovis Cornillac, Carole Bouquet, Benoit Magimel, José Garcia, Catherine Frot, Kristin Scott Thomas et même Catherine Deneuve.

Du coup, pour les agents, la gestion des carrières devient de plus en plus fine. «C'est important, une carrière qui dure, souligne Claire Blondel qui regrette, la trop rapide ascension de certains dont on peut craindre que la chute le soit également.» «Pendant les périodes d'enivrement, il faut savoir garder la tête froide et viser la pérennité. Les grandes carrières se font avec des prises de risque. Guillaume Canet fait ça très bien», renchérit Bertrand de Labbey. «D'une part, il faut à la fois travailler avec des réalisateurs de qualité qui vont ouvrir la porte vers les festivals et apporter de la profondeur à une filmographie, estime Elisabeth Tanner. Et peu importe si le film marche. En travaillant avec l'un, l'acteur recevra des propositions des autres. D'autre part, il faut aussi jouer dans des superproductions qui vont apporter une énorme exposition médiatique et permettre de retrouver de la liberté sur d'autres films.» Seul souci: ce choix n'est pas donné à tout le monde. Conscients qu'ils finiront par lasser à force de jouer dans des comédies, beaucoup d'acteurs dont Kad Merad et Franck Dubosc osent des rôles plus dramatiques. Mais si l'un réussit, l'autre a plus de mal. «Le contre-emploi réussit une fois sur dix, ce n'est pas une recette en soi, souligne Bertrand de Labbey. Ceux qui ont passé le cap comme Bourvil et Daniel Auteuil sont d'immenses comédiens. Celui qui est moins bon dans un registre différent doit rester dans le sien. Comme disait Verlaine: un artiste doit avant tout être hystériquement fidèle à lui-même.»

Réf : le figaro

Décès de Mike Wallace, journaliste légendaire de la télévision américaine


Mike Wallace, l'un des journalistes légendaires de la télévision américaine, est décédé à l'âge de 93 ans, a annoncé dimanche la chaîne de télévision CBS.

En 60 ans de carrière, Wallace, décrit dimanche par CBS comme un journaliste "pitt-bull", s'était distingué par ses entretiens intransigeants de nombreuses célébrités et dirigeants internationaux dont Vladimir Poutine, l'ayatollah Khomeini ou encore Yasser Arafat.

Il avait aussi interviewé Malcolm X peu avant son assassinat, "ses amis les Reagan, John F. Kennedy, Lyndon Johnson, Jimmy Carter, et même Eleanor Roosevelt", selon CBS.

La chaîne de télévision a souligné sa "contribution extraordinaire", notamment à l'émission d'information hebdomadaire "60 minutes" dont il avait été l'un des pionniers lors de son lancement en 1968. Il en avait pris sa retraite en 2006, continuant cependant à y collaborer de temps en temps.

"Sans lui, il n'y aurait probablement pas eu de +60 minutes+", a estimé le président de CBS news Jeff Fager dans un communiqué, en évoquant une personnalité "drôle et féroce".

Leonard Bernstein, Luciano Pavarotti, Janis Joplin, Tina Turner, Salvador Dali, Barbra Streisand (qu'il avait fait pleurer en 1991), tous étaient passés sur le grill des questions et commentaires de Mike Wallace.

Il avait "avait pratiquement inventé pour la télévision ce style d'entretien" sans concession, selon CBS.

Il n'avait pas hésité à dire à l'ayatollah Khomeini en 1979 que le président égyptien Sadate le considérait "comme un fou". L'ayatollah avait répondu en traitant M. Sadate d'hérétique.

Mike Wallace avait fait ses débuts à la radion en 1940, avant de devenir animateur de jeux télévisés dans les années 50, puis journaliste dans les années 60.

Son interview en août 2006 du président iranien Mahmoud Ahmadinejad lui avait valu une 21e Emmy award, à l'âge de 89 ans. Il avait aussi obtenu pour CBS en 2007 l'interview du "docteur de la mort" Jack Kervorkian.

Martin Luther King était son héros.
Il avait fait sa dernière interview pour "60 minutes" en janvier 2008.
Il est décédé samedi soir à New Canaan, dans le Connecticut (nord-est) entouré des siens, a précisé CBS.



réf: lexpress.fr